Ce mois de décembre 2012, à l’heure de la « fin du monde », la presse locale me fait un triomphe en diffusant allègrement mes montages photos de Grenoble subissant diverses formes d’apocalypses. Cela a commencé avec le très bon journal éco-citoyen Les Antennes, qui m’a consacré une superbe couverture, puis sur la page Facebook de la ville de Grenoble a été partagée mon image des grands boulevards envahis par la nature. Suite à cette diffusion très voyante sur le réseau social, le 20 Minutes m’a consacré un bon petit article lundi 17, et aujourd’hui 20 décembre, veille de la fin du calendrier Maya, c’est le Dauphiné qui m’accorde sa Une avec à nouveau mon image des grands boulevards abandonnés, en couverture.
Le monde ne s’arrête pas demain, et nous avançons du mieux que nous pouvons, nous humains sur cette précieuse planète.
Finissons le monde dont nous ne voulons plus et créons le monde que nous voulons, dès maintenant, à chaque instant.
Tu l’as tres, tres bien dit : « Finissons le monde dont nous ne voulons plus et créons le monde que nous voulons, dès maintenant, à chaque instant. »
Merci Christophe.